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Le Festival des mots croisés d’Eu des 5 à 7 novembre 2010 : outre la télévision (France 3) la presse locale et régionale en a parlé — et en bien — avant et aussi après, comme le montrent ces articles découpés la semaine qui a suivi l’événement.

Paris-Normandie

Paris-Normandie

• Le mardi 9 novembre, Paris-Normandie place le week-end eudois en cases noires et blanches sous le titre : « Ils se jouent des mots ». Illustré par une photo de la remise des prix du tournoi des collèges, cet article relève que la 2e édition du festival nouvelle formule « a connu un joli succès ». Il rappelle la résolution de la grille de 600 cases du vendredi, le « moment intense » que fut le tournoi des collèges (pour lequel 340 élèves de 5e avaient planché sur la grille de sélection), et rapporte le témoignage enthousiaste du principal du collège du Tréport : « C’est très valorisant pour notre établissement de voir deux des siens, s’illustrer dans ce type de challenge », confie-t–il. En conclusion, le quotidien normand donne rendez-vous l’an prochain « pour un nouveau tournoi tout aussi convivial et enrichissant ». Voilà qui est (bien) dit.

L'informateur (I)

L’informateur (I)

L'informateur (II)

L’informateur (II)

Dans son édition du 12 novembre, L’informateur accorde deux tiers de page aux festivités autour des mots, sous le titre : « Les lettres et les cases ». Par des articles et des photos consacrés à chacune des composantes du festival d’Eu, l’hebdomadaire donne un juste reflet de ce qui s’est passé devant les grilles. Concernant le tournoi des collèges, le journaliste cite un exemple de définition (celle du 1 horizontal de la finale), souligne le rôle des arbitres qui « étaient des membres du conseil municipal et des bénévoles, et se fait l’écho de la volonté de Michel Barbier, adjoint à la culture « d’élargir ce tournoi à d’autres collèges des environs ». Il signe également un papier sur le Grand Prix du dimanche, ses définitions de la potence, l’ambiance à la sortie avec les commentaires des concurrent(e)s, à chaud devant un café. Pas triste !

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