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Concours Eskimos n°67 : vos trouvailles

Dans la trace du Concours de la première neige publié dans Eskimos n°67, les lecteurs étaient invités à trouver des définitions aux mots VOYANT et CROYANT. Est-ce l’effet de la fin du monde annoncée ? En tout cas, les fidèles de la revue sont souvent allé(e)s bien au-delà du très haut de la création. Bravo perso à tous !

• VOYANT

« Devin frelaté » (Georgette Abel), « Non, ce n’est pas mal » (Alain Mottet), « A bon quinquet, na ! » (Bernard Chapays), « Repère de loup » (Jean-Philippe Beuzit), « Usant de l’IRMagerie de cristal » (Christian Boccon), « Pas forcément regardant » (François Beaufeïst), « Avertit l’illuminé averti » (Thierry Bruger), « Mieux vaut pour lui qu’il ne perde pas la boule » (Daniel Cierniak), « Souvent allumé, parfois illuminé » (Daniel Vernon), « Illuminé par sa boule de cristal » (Marie-Françoise Modaine), « Homme ou objet illuminé » (Jean-Claude Driot), « Tout pour la montre » (Jean Brisard), « Se met au vert quand ça baigne » (Bernard Monnet), « Inquiète, s’il se met au gros rouge » (Jean-Claude Gouy), « Inquiétant quand il est rouge » (Philippe Dhondt), etc.

• CROYANT

« Il suit son basilique instinct » (D. Cierniak), « Il ne répète rien sans foi » (D. Vernon), « A franchi le cap de bonne espérance » (Pierre Bernard), « Antisceptique » (Alain Mottet), « L’ivre de messe » (Pierre-Marie Frioux), « Même intelligent et gagnant, c’est un convaincu » (Bernard Monnet), « Ah, té ! Un fidèle » (Corinne Bertrand), « Maillon d’une chaîne de haute fidélité » (Édith Sordet-Paulin), « À trop pratiquer, se retrouve sur les genoux le dimanche » (C. Boccon), « Il étaie une foi et a beaucoup d’imans » (Michèle Willemin), « A la foi, sans aucun doute » (Jean Walès), « Qui a fait son service qui n’est pas athée » (J-P. Beuzit), « Allergique au service athée » (Laurent Leshauris), « Un témoin digne de foi » (Michel Vanobost), « Parfois chocolat, sans crise de foi » (T. Bruger), « N’a pas de crise de foi à Noël » (Jean-Claude Driot), « Il n’a jamais de crise de foi » (P. Dhondt), « Il vit à crédit » (Bernard Arnautou), « Attendant le père Noël » (Jean Stieber), « Pieux, il s’est mis au pieu » (G. Abel), « Tel l’aveugle qui adore les couchers de soleil) (Roger-Joseph Lacoste), « Sûr de lui » (Marie-Paule Cierniak), « Brebis dans la nef » (F. Beaufeïst), « Suit son commandeur » (François Cathenod), etc.

 




Festival d’Eu 2012 : vos définitions

Pour s’inscrire au Festival d’Eu 2012, il fallait imaginer des définitions drôles et originales pour les mots BOUQUET et CANAL. En voici, comme il convient, un florilège :

• BOUQUET

« De par Dieu, quelle belle fleur ! » (Guy Bonnin), « Il peut être sans arum, mais pas sans arôme » (Daniel Cierniak), « Sachez-le, ça c’est le » (Alain Dupont), « Rose de mer, roses de vase » (Michèle Willemin), « Carole ou corolles » (Jean-Claude Gouy), « L’es-tu, Miss Carole? » (Jean-Luc Pinai), « Des programmes à gerber ? » (Thierry Van Houtte), « Même joli, il fait gerber » (François Beaufeïst), « Annonce un prochain cessez-le-feu » (Pierre Bernard), « En fait voir finalement de toutes les couleurs » (Marie-Paule Cierniak), « Ça pète au final » (Horace Moï), « Fin d’artifice » (Jean-Pierre Cambien), « Il peut sentir la crevette, mais la rose surtout » (Cyrille Veltz), « Il s’envoie en l’air avec la mariée » (Xavier Chevalier), « Il décore quand il n’est pas garni » (René Devos), « Ce fut la Mort du Buffet froid » (Lionel Lebret), « Pour lui, le flacon est important » (Christian Boccon), « Dagobert ou le Roi se meurt » (Pascal Limare), « Réunion florale » (Philippe Lenglin), etc.

• CANAL

« On va régler ça au poste ! » (Alain Mio), « + avec X » (Thierry Van Houtte), « L’entailleur de Panama » (Jean-Luc Pinai), « A favorisé le port de Panama » (Dominique Loyvet),  »  « Il » a magnifié le Grand… encore plus » (Michèle Willemin), « Suez pour le définir » (Guy Bonnin), « Psychanalyste bouleversé » (François Beaufeïst), « Abée, susceptible de se faire curer » (Marc Cimpello), « Arrive à la fin de la bataille » (Jacques Jochem), « On y écluse plus d’eau que de vin » (Michel Cosnefroy), « Albert-de-Belgique pouvant sortir de son lit avec précipitations » (Michel Vanobost), « S’ouvre aujourd’hui à de nouveaux navigateurs » (Pierre Bernard), « Il sait rester déférent, malgré les hauts et les bas de la bourse » (Cyrille Veltz), « Trompe ou passe » (Édith Sordet-Paulin), « Dans le carpe ou bien pour une carpe » (Renée Devos), « Sous ses ponts du Midi coulent le fret et nos musiques » (Thierry Bruger), « Rigole en France, bisse en Suisse » (Hervé Hardouin), « Autoroute de l’info » (Roger Lacoste), « Il faut le caler pour chaque chaîne » (Richard Pollet), ainsi que dans la série des « Plus » : « Plus à la chaîne » (Jean-Claude Gouy), « Est crypté en plus » (Lionel Lebret), « Plus, c’est payant » (Daniel Vernon), « Nous propose en plus du cochon » (Christian Boccon), « Un plus pour les abonnés » (René-Christian Friboulet), « Le décodeur en fait un plus » (Jean-Marie Colasse), etc.




Festival d’Aÿ 2012 : vos définitions

Pour s’inscrire au Festival d’Aÿ 2012, il fallait imaginer des définitions pour les mots ROI et CHÂTEAU. En voici une sélection :

• ROI

« Coq de basse-cour » (Jean-Claude Driot), « Choisy, mais pas élu » (Guy Bonnin), « Souvent brillant, parfois mat » (Philippe Dhondt), « Titre à Lear » (Gérard Leclerc), « Pas facile à mater » (Marie-Paule Cierniak), « Qu’on intronise ou qu’on sort » (Nadia Chasseigne) , « As ou sous as » (Renée Devos), « Sa dame se fait souvent prendre par un valet » (Michel Cosnefroy), « … des boules, il s’y voyait, et pis Fanny » (Cyrille Veltz), « Un vrai bleu, mais de haute lignée » (Denis Richard), « C’est un grand honneur » (Hervé Hardouin), « Le client l’est, mais de quoi ? » (Marie-France Devy), « Pour les cartes, il bat sa femme » (Isabelle Robert), « Partie de belote » (Patricia Longree), « Pièce de marque déposée en France » (Patrick Servenay), « Trois moins deux » (J-P. Picard), « S’amuse chez Hugo, se meurt chez Molière » (Guy Robert), « Du macadam, c’est Prosper » (E. Lalire), etc.

• CHÂTEAU

« Une chanteuse et un ténor s’y accordèrent » (B. Philippet), « Bâtisse « effet mer » éphémère » (Jean-Pierre Cambien) , « Demeure belle malgré son âge » (P. Longree), « La pompe ne lui donne aucun lustre » (Pierre Bernard), « Sa vie s’envie, ses vins aussi » (Thierry Bruger), « Thierry, Bernard, Renault et les autres » (Jean-Jacques Poinsenet), « Part de fromage de Hollande » (G. Bonnin), « Utopie en Ibérie » (Marie-Françoise Modaine), « Modèle réduit rencontré sur la plage en été » (M. Cosnefroy),« Le Bordelais y a cru » (R. Devos), « On s’y jouait des tours en chemin pour ne pas casser la ronde » (C. Veltz), « Miss Victoria loue son Ax » (Christian Boccon), etc.